Kobo Aura One, enfin une liseuse pour la BD ?
Vous l’avez compris, je vais vous parler ici de ma nouvelle liseuse, la Kobo Aura One. Vous expliquer pourquoi je l’ai choisie, et surtout les habituels « plus » et « moins », qui vous feront craquer ou pas. Cet article n’est pas sponsorisé, et j’ai payé cette Kobo avec mon argent personne à moi qui m’appartient.
Pourquoi une liseuse ?
Parce que je ne lis plus assez, et qu’étant un gros geek de merde, je me suis dit qu’avoir une liseuse allait me motiver à prendre du temps pour lire à nouveau. De plus, je suis souvent en déplacement, et j’aime bien que mon sac soit léger.
C’est ta première liseuse ?
J’ai eu brièvement la Kobo Aura 2, j’ai testé aussi quelques Kindle, et j’ai beaucoup utilisé mes iPad comme liseuses, un temps.
Tu lis quoi ?
Quelques bouquins, et surtout de la BD. C’est ce point là qui m’a donné envie de tester la Kobo Aura One.
Alors pourquoi ce choix ?
Je voulais une liseuse pour pouvoir lire au soleil, donc déjà en excluant toutes les tablettes de type iPad.
Le premier argument pour moi, a clairement été la taille de l’écran et sa résolution. C’est LE point qui compte quand on veut lire un peu de BD sur sa tablette. On a là une définition d’écran de 300pp sur 1872*1404 pixels, et une dalle de 7,8 pouces. C’est donc plutôt grand, et la définition est au rendez-vous.
Et alors ça donne quoi la lecture ?
Pour la littérature rien à redire, pour la BD, et bien « ça va », c’est beaucoup mieux que sur la plupart des tablettes. Sur 75% des BD testées, on arrive assez proprement à lire les bulles. Le passage en niveau de gris des BD couleurs est tout à fait correct (même si évidemment l’intérêt est surtout d’y lire des BD déjà en noir et blanc). Il y a pas contre un vrai problème de lenteur lorsqu’on a besoin de zoomer quand le texte est trop petit ou pour changer de page.
Ok alors c’est quoi les gros PLUS ?
+ L’écran, sa taille et sa définition.
+ Elle est étanche.
+ Elle a une bonne tête.
+ Un mode nuit pour moins fatiguer les yeux.
+ Elle accepte tous les formats nativement, BD comprises, contrairement aux Kindle d’Amazon.
+ Son interface est assez cool.
Mais alors y a quoi de pas bien ?
– Elle rame sa race sur la BD.
– Je la trouve assez chère (comptez 230€)
– Elle ne dispose que de 8Go de mémoire, non extensible, un peu léger pour la BD.
Conclusion ?
Et bien j’en suis content, même si je ne l’utilise pas assez. Par contre je la recommande très vivement et considère que c’est vraiment le meilleur des choix, surtout si vous avez un peu de BD, achetée légalement ou non, à y stocker.
J’ajoute qu’il serait bon que les éditeurs de BD se bougent un peu les fesses pour numériser et proposer des abonnements de leurs catalogues, ça nous évitera de pirater encore et toujours de la BD.
La Kobo Aura One est dispo chez Amazon ou à la FNAC, quand elle n’est pas en rupture.
Ah mais c’est quoi le nom de cette BD (l’autre, pas Brétecher), je lisais ça ado !
« Le voyeur », de je sais plus qui.
Je possède une liseuse Pocketbook InkPad (8″, 1600×1200, extensible 32 Go) que j’avais choisie pour la gestion des pdf réputée très bonne (ex de test : https://www.youtube.com/watch?v=rsJizVAMpDQ). Mais j’avoue que pour la BD le résultat est loin de ce qu’on obtient avec une tablette : le zoom et le chargement des pages peuvent être longs.
A l’évidence, les liseuses n’ont pas encore la technologie pour de l’image.